L’analyse du dossier Essex a démontré combien l’analyse des réseaux/médias sociaux et des téléphones portables contribue à la récolte des preuves, tant pour tracer les activités (financières) des trafiquants, faire les liens entre des faits de trafic et de traite (notamment un possible lien par la dette) que pour comprendre comment les victimes ont été recrutées ou localiser les lieux où elles sont passées. 
L’implication de la FCCU (Federal Computer Crime Unit) constitue, à cet égard, une plus-value. De même, la formation des policiers doit être renforcée, comme via certains projets existants.