En vue d’assurer une meilleure connaissance du phénomène de l’apatridie, le Centre recommande que des instructions d’encodage standardisé des personnes apatrides dans le Registre national soient élaborées et transmises aux communes ; que la formation et le soutien aux fonctionnaires chargés de cet encodage soient renforcés avec un accent particulier sur l’inscription des enfants dans les registres et que les décisions judiciaires de reconnaissance de la qualité d’apatride soient automatiquement communiquées aux communes, pour transcription dans les registres.