Dans cette affaire d’exploitation sexuelle d’une jeune femme nigériane, le tribunal octroie 50.000 euros de dommage matériel à la partie civile (sur un montant réclamé de 300.000 euros) et un dommage moral de 5.000 euros. La jeune nigériane avait été recrutée au Nigéria sous la fausse promesse de venir travailler comme femme de ménage. Elle a dû en réalité se prostituer, étant redevable d’une soi-disant dette de 45.000 euros dont elle devait s’acquitter. Elle a été soumise au rituel vaudou traditionnel.