Plusieurs prévenus ont exploité dans leurs salons de massage des jeunes femmes thaïlandaises. Celles-ci ont été recrutées sous la fausse promesse de faire des massages thaïlandais. En réalité les massages s’effectuaient nues et elles étaient également tenues d’offrir des services sexuels à la demande du client. Elles devaient travailler constamment et n’avaient quasi pas de jour libre. Elles devaient rembourser une dette considérable (15.000 euros), et pour ce faire étaient mises sous pression. Leur passeport était retenu et leur liberté limitée aussi longtemps qu’elles n’avaient pas remboursé entièrement leur dette. Elles devaient aussi effectuer des tâches ménagères et  payer elles-mêmes le gîte et le couvert.

Cette décision a fait l’objet d’appel.