Dans l’attente de la décision politique qui devra être prise à propos de la compétence de l’instance (judiciaire ou administrative) chargée de déterminer la qualité d’apatride et d’en octroyer le statut et de l’organe compétent pour le recours de celle-ci, le Centre recommande que soit envisagée la mise en place d’un réseau de magistrats de référence en matière d’apatridie.