Compte tenu de l’augmentation du besoin de protection depuis la prise de pouvoir et des difficultés rencontrées par les membres afghans de la famille pour se déplacer et introduire une demande de visa (en temps voulu), Myria demande instamment aux autorités belges d’agir pour faciliter cette introduction. Faute de quoi, le droit au regroupement familial risque de devenir irréalisable dans la pratique.


Il faut également appliquer au maximum la jurisprudence de la Cour de justice concernant l’absence de documents officiels. Cela implique aussi des obligations pour les autorités, notamment celle de s’informer de la situation dans le pays d’origine.

Myria recommande aux autorités de prendre en compte les motifs humanitaires dans la procédure de regroupement familial, et réitère également sa recommandation de mettre en place une politique encadrée et transparente en matière de visas humanitaires.