Dans notre lettre d’information du mois d’août : la Belgique disposera d’un mécanisme national de prévention pour surveiller les droits de personnes privées de liberté, le solde migratoire en 2022, la publication du rapport annuel du REM (niveau national) et Myria recrute.

Dans la Myriade du mois de mai, on parle notamment du cahier « Régularisation humanitaire et médicale » de Myria, de la première réunion de contact « Sanction » et du protocole avec le Conseil Central de Surveillance Pénitentière. 

Pour la troisième année consécutive, Myria choisit de décliner son rapport annuel La migration en chiffres et droits sous forme de cahiers. 

La déclinaison du rapport annuel La migration en chiffres et droits sous forme de cahiers se poursuit pour l’édition 2021.

Myria présente l’étude Moving to Belgium as an EU citizen au grand public. L’étude signale un certain nombre de manquements dans les formalités d’enregistrement des citoyens de l’UE dans les communes. Elle contient des recommandations pour garantir la libre circulation des citoyens de l’UE travailleurs salariés, indépendants, et demandeurs d’emploi. 

Dans le Myriatics #12, Myria analyse la taille et la composition de la population de nationalité étrangère présente aujourd’hui en Belgique. Il examine également les mouvements migratoires des étrangers et leurs motifs légaux de séjour.

A situation sanitaire exceptionnelle, publication exceptionnelle. Myria publie traditionnellement son rapport annuel « La migration en chiffres et en droits » début juillet. En raison de la crise liée au COVID-19, le Centre fédéral Migration a opté en 2020 pour l’édition de ce rapport annuel en cahiers thématiques, téléchargeables sur son site au fur et à mesure de leur réalisation.

La Première ministre Sophie Wilmès et un kern élargi ont invité Myria à apporter sa contribution à la politique de relance. La contribution de Myria était basée sur des données relatives à la migration économique, à la position sur le marché du travail des nouveaux arrivants et aux situations d'exploitation, que ce soit dans le cadre de la traite des êtres humains ou non.

Myria évalue l'impact des mesures de santé publique sur le statut juridique des ressortissants étrangers. Il est en contact à la fois avec les décideurs politiques et les autorités, ainsi qu’avec les représentants de diverses organisations.

En tant qu'institutions belges des droits humains, Unia, Myria et le Service de lutte contre la pauvreté accueillent favorablement la politique de lutte contre l’épidémie de COVID-19 développée et mise en œuvre par de nombreux acteurs sur le terrain. Dans le même temps, nous sommes toutefois préoccupés par les conséquences parfois très négatives des mesures de protection dans certaines situations.