Compte tenu également de l’exigence de contrôle de toutes les tentatives d’éloignement, qui commence avant le départ sur les vols Frontex, Myria recommande que le contrôle effectué par l’AIG commence aussi souvent que possible dans le centre fermé, dans la prison ou dans le lieu où la personne est détenue.

Par ailleurs, Myria recommande à l’AIG de toujours effectuer les contrôles inopinément dans la mesure du possible. Selon Myria, le rapport de contrôle doit indiquer si le contrôle a été annoncé ou non. Il serait plus facile d’organiser davantage de contrôles surprises si le Bureau T de l’OE ou la police informait toujours l’AIG de l’heure estimée d’arrivée au centre fermé, à la prison ou du tout autre lieu de détention avant le transport vers l’aéroport, par exemple. Cela permettrait un contrôle plus étroit des différentes étapes critiques du processus d’éloignement.