Myria recommande qu’au moment de prendre un ordre de quitter le territoire ou une interdiction d’entrée, l’OE donne encore l’occasion au migrant d’exposer sa situation (vie de famille, intérêt supérieur de l’enfant, santé…) De manière générale Myria recommande que les autorités garantissent le droit d’être entendu à chaque étranger qui a reçu un ordre de quitter le territoire, mais qui n’a pas encore subi aucune procédure ou qui dispose de nouveaux éléments depuis la fin d’une procédure d’asile ou de séjour.