Myria a déjà eu l’occasion de pointer le problème de l’accès à la justice pour les victimes de traite des êtres humains. Il ne peut dès lors que souscrire à la volonté de l’auteur de la proposition de faciliter cet accès, à tout le moins pour les victimes de traite des êtres humains. Myria a d’ailleurs recommandé dans son rapport annuel 2019 de permettre aux victimes de traite des êtres humains de bénéficier de l’aide juridique de deuxième ligne jusqu’à l’issue de la procédure pénale à l’encontre des auteurs.