La réunion des familles (via le biais de visites ou via le regroupement familial) a été particulièrement freinée par les mesures mises en place pour lutter contre la pandémie de Covid-19. La mobilité pour des raisons familiales était considérée comme « non essentielle » jusque fin juillet 2020. À cela, se sont ajoutés d'autres obstacles comme la fermeture de postes diplomatiques, des conditions administratives supplémentaires ainsi que des difficultés de transport. Tous ces éléments ont contraint ces personnes à vivre de façon séparée ou à retarder leurs retrouvailles pour plusieurs mois.