Note à l’àttention de là Commission de l’Intérieur, des Affàires généràles et de là Fonction publique.
Myria regrette que ce projet de loi, d’ampleur par sa taille comme par les changements qu’il induit, ne fasse pas l’objet d’un temps d’examen et de débat beaucoup plus long. Myria regrette de devoir limiter son examen de ce projet faute de temps, et a donc choisi de concentrer son analyse sur les dimensions liées à la détention et l’éloignement.